*Baboum* C'est quoi ce voile blanc? *Baboum* Et ces cris?*Baboum* Ce murmure... *Boum* Cette voix... *Boum* Cette tristesse... *Biiiiiiiiiiiiip* Reee-viiiieennnt !!!!
Je me suis réveillée entre les bras d'un iop, son ami, genou à terre à nous protéger de son épée pendant ce chaos qui régner autour de nous.
La guerre était déclarée, les monstres envahissaient villes, campagnes et ponts marchants. Nous étions mandatés par la Nation d'Amakna afin de protéger Chauchanne de la fureur des bouftous enragés qui avaient envahis le pont de la si belle Route Croustillante.
Je donnais des coups de baguette sur les bouftous qui tenter de lui grignoter sa robe, je murmurais des mots soignants, revigorants à mes compagnons d'armes et je repoussais les chefs de guerres à coup de fioles de frayeurs, quand tout à coup, une bouffette botta mon lapino et me l'envoya directement en pleine tête m'assommant sur le coup et me laissant à la fureur de ces monstres pris d'une inexplicable fureur.
Mes compagnons au front battirent en retraite alertés par les cris d'horreur de Chauchanne, la dentelle de sa robe sous les dents d'un boufton.
J'étais étendu au sol, mon lapino dans les bras, tout les deux dans les vapes et en fâcheuse posture.
Mon compagnon et ami Full-Rafale bondit au milieu de ses masses laineuses, en assomma quelques une à coups de Jabs, d'uppercut et d'éventrail pendant que son ami repoussait le reste loin de nous à coup d'intimidation.
Devant cette cuisante défaites, les bouftous chargèrent vers la sortie du pont en détruisant le peu de bâtiment encore debout.
Suite à ça, mes compagnons et moi prirent la décision qu'on ne pouvaient pas rester seuls.
Quand mes yeux se tournèrent vers Bonta, Full-Rafale se posta à coté de moi en suivant mes pensées pendant que notre 3ème compagnon gardé ses yeux sur sa patrie meurtrie.
C'est ainsi que nos chemins se séparèrent, Full et moi allant chercher de l'aide vers Bonta et plus particulièrement vers un certain coin de paradis dans la plaine de Cania et notre ami alla rejoindre d'autres compagnons d'armes de longue dates afin de reconstruire et défendre leur nation.
Notre voyage fut long et périlleux. La traversé en bateau fut mouvementée jusqu'à Bonta. Nous avons manqué de nous perdre dans la Fourrée Bontarienne, peuplé de diverses créatures pas toujours pacifiques.
Nous avons passé un moment joyeux à nous restaurer au pont de la galette qui nous rappeler tant notre route croustillante et sa belle Chauchanne.
Traverser la plaine de Kara en course de fond poursuivis par un troupeau de gliglis et de bouftous, certainement attirés par l'odeur des provisions que nous embarquions pour la fin de notre voyage.
Nous avons réussi à les semer dans le marais de Cania, qui, je le comprends mieux maintenant n'était pas vraiment le chemin à prendre car les bains de Boos et les piqures de Moskitos ce n'est pas notre tasse de thé.
Après des jours entiers à ramper dans la boue, l'eau putride et le paysage désolant, nous sommes arrivés dans une plaine verdoyante peuplée de Moogrrs pâturant l'herbe des chemins, de tofus picorant gaiement les grains de blé et les piquants prespics les accompagnant.
Nous avons plongés dans la baie de ce nous avons deviné étant la plaine de Cania. Nous étions presque arrivé. Les quelques brasses bien méritées, nous fit tomber sur le but de notre destination. Le Havre Monde des Rédempteurs.
Cette guilde de fières combattants qui avez pendant ma jeunesse bercer mes premiers pas dans ce monde, se dresser là devant nous. Nous sortîmes rapidement, nous séchant et nous changeant dans nos havre sacs avant de passer par le portail temporel doré qui nous fit atterrir devant la porte de guilde.
Nous toquâmes, tapâmes sur les armures en guise de sonnette mais Les Rédempteurs devaient être partis à la chasse aux hors la loi. Nous nous posâmes aux pieds des fiers gardiens de ce fort militaire et nous nous assoupîmes malgré nous...
Je me suis réveillée entre les bras d'un iop, son ami, genou à terre à nous protéger de son épée pendant ce chaos qui régner autour de nous.
La guerre était déclarée, les monstres envahissaient villes, campagnes et ponts marchants. Nous étions mandatés par la Nation d'Amakna afin de protéger Chauchanne de la fureur des bouftous enragés qui avaient envahis le pont de la si belle Route Croustillante.
Je donnais des coups de baguette sur les bouftous qui tenter de lui grignoter sa robe, je murmurais des mots soignants, revigorants à mes compagnons d'armes et je repoussais les chefs de guerres à coup de fioles de frayeurs, quand tout à coup, une bouffette botta mon lapino et me l'envoya directement en pleine tête m'assommant sur le coup et me laissant à la fureur de ces monstres pris d'une inexplicable fureur.
Mes compagnons au front battirent en retraite alertés par les cris d'horreur de Chauchanne, la dentelle de sa robe sous les dents d'un boufton.
J'étais étendu au sol, mon lapino dans les bras, tout les deux dans les vapes et en fâcheuse posture.
Mon compagnon et ami Full-Rafale bondit au milieu de ses masses laineuses, en assomma quelques une à coups de Jabs, d'uppercut et d'éventrail pendant que son ami repoussait le reste loin de nous à coup d'intimidation.
Devant cette cuisante défaites, les bouftous chargèrent vers la sortie du pont en détruisant le peu de bâtiment encore debout.
Suite à ça, mes compagnons et moi prirent la décision qu'on ne pouvaient pas rester seuls.
Quand mes yeux se tournèrent vers Bonta, Full-Rafale se posta à coté de moi en suivant mes pensées pendant que notre 3ème compagnon gardé ses yeux sur sa patrie meurtrie.
C'est ainsi que nos chemins se séparèrent, Full et moi allant chercher de l'aide vers Bonta et plus particulièrement vers un certain coin de paradis dans la plaine de Cania et notre ami alla rejoindre d'autres compagnons d'armes de longue dates afin de reconstruire et défendre leur nation.
Notre voyage fut long et périlleux. La traversé en bateau fut mouvementée jusqu'à Bonta. Nous avons manqué de nous perdre dans la Fourrée Bontarienne, peuplé de diverses créatures pas toujours pacifiques.
Nous avons passé un moment joyeux à nous restaurer au pont de la galette qui nous rappeler tant notre route croustillante et sa belle Chauchanne.
Traverser la plaine de Kara en course de fond poursuivis par un troupeau de gliglis et de bouftous, certainement attirés par l'odeur des provisions que nous embarquions pour la fin de notre voyage.
Nous avons réussi à les semer dans le marais de Cania, qui, je le comprends mieux maintenant n'était pas vraiment le chemin à prendre car les bains de Boos et les piqures de Moskitos ce n'est pas notre tasse de thé.
Après des jours entiers à ramper dans la boue, l'eau putride et le paysage désolant, nous sommes arrivés dans une plaine verdoyante peuplée de Moogrrs pâturant l'herbe des chemins, de tofus picorant gaiement les grains de blé et les piquants prespics les accompagnant.
Nous avons plongés dans la baie de ce nous avons deviné étant la plaine de Cania. Nous étions presque arrivé. Les quelques brasses bien méritées, nous fit tomber sur le but de notre destination. Le Havre Monde des Rédempteurs.
Cette guilde de fières combattants qui avez pendant ma jeunesse bercer mes premiers pas dans ce monde, se dresser là devant nous. Nous sortîmes rapidement, nous séchant et nous changeant dans nos havre sacs avant de passer par le portail temporel doré qui nous fit atterrir devant la porte de guilde.
Nous toquâmes, tapâmes sur les armures en guise de sonnette mais Les Rédempteurs devaient être partis à la chasse aux hors la loi. Nous nous posâmes aux pieds des fiers gardiens de ce fort militaire et nous nous assoupîmes malgré nous...
